Fin d'après-midi à la pointe de Trévignon...
Au pied de l'arc-en-ciel
Depuis quelques mois, trois héoliennes ont été installées pas très loin dehcez nous. En tout cas assez près pour les voir de partout sans vraiment savoir où elles sont. Comme le pied des arc-en-ciel qui aiment à jouer à cache cache.
Pour en avoir le coeur net, nous avons pris le chemin des écoliers (ou plutôt du troupeau de vache)pour nous retrouver nez à nez avec l'objet recherché. Mais où sont-elles, finalement ? A Melgven !
Rhhhhhaaaaa... le point final.
Quelques traits blancs de dernière minute ont finalement été effacés. Le tout est vernis à la bombe. Surprise ! C'est du vernis brillant. Autrement dit, on voit plus que des reflets.
Une couche de lazure par dessus pour faire bonne mesure. Re-surprise ! C'est de la lazure couleur pin. Mais la couche est si fine que ça ne jauni pas vraiment.
Et le rituel final, l'accrochage. Le triptique a fondu pour ne devenir qu'uniptique ou monoptique ou... ou... un tout seul, tandis que le p'tit nouveau se prend pour un écran au dessus de l'écran. C'est que le dit écran géantissime par rapport au précédent venait masquer le triptique. Après avoir envisagé de le découper, voire d'y ménager une fenêtre, le bon sens a voulu qu'on change simplement de format de tableau...
Oùsont passés les deux autres volets du pont Vauban ? Ceci est une autre histoire...
Rhhhhhaaaaa... ça prend forme...
Toutes les silhouettes ont été longuement ombrées au stylo bille...
...avant d'accentuer le relief du fond posé à la spatule avec du brou (toujours, du brou) et de l'acrylique noire. L'instrument clé ? Le pschitt à eau (et la serpillère, mais pour une autre raison).
Puis attendre que ça sèche. C'est toujours un peu la même histoire...