City, d'Alessandro Baricco. Plus contemporain que Soie, que j'avais adoré. Un très bon moment de lecture.

 L'encyclopédie capricieuse du tout et du rien, de Charles Dantzig. Un pavé, une petite merveille. Dans la foulée, j'ai avalé Pourquoi lire ?, du même. Tout pareillement aussi bien.

 Leviathan, de Julien Green. Un peu freinée par la mauvaise qualité de l'édition, dommage, car j'ai aimé l'ambiance désuette.

 Gatsby le magnifique, de Francis Scott Fitzgerald. Parce qu'à force d'en entendre parler... Je ne regrette pas.

Il ne reste plus qu'une quarantaine de livres dans la pile en attente. Heureusement, la liste des projets de lectures en contient plus de 70... ce n'est pas encore cette année que je m'ennuierai !

Joyeux anniversaire Laurence !

quatre mains et deux pinceaux

(chut ! piqué un p'tit bout d'une photo à Claude)

 et un bon millier de pages à bouquiner

Parmi mes "lectures de chiens", il y avait déjà Demain les chiens, de Simak ; Mon chien stupide, de John Fante ; Chien blanc, de Romain Gary...

Sans oublier Le chien des Baskerville, de Conan Doyle ; Otchum chef de meute, de Nicolas Vznnier ; Le chien qui perdit sa voix, une nouvelle de Jorn Riel ; ou encore le bizarre incident du chien pendant la nuit, de Mark Haddon.

Ajoutons à la liste le bref et irrésistible Dernière caresse, de Catherine Guillebaud, ainsi que le joyeux Maître et chien ,une nouvelle de Thomas Mann.

taille réelle : 11 cm par petit bonhomme, et il y en a deux douzaines