Nouvelle version de l'ex-libris, cette fois-ci c'est la bonne :
Sur une gomme épaisse pour que la prise en main soit aisée.
L'occasion de tester la nouvelle encre, couleur sapin de Noël.
Je recycle le précédent piou en cartes de Saint Nicolas...
...transformable en boules de Noël.
Tu t'en doutes, j'en ai taponné un peu d'avance en prévisions des demandes... mais n'ai pas tout découpé !
Il semble que le sujet nous ait déjà fort occupé (voire préoccupé) il y a une dizaine d'années. J'en ai retrouvé quelques traces dans les vieux carnets.
Il y en a eu bien d'autre, période de chute dentaire oblige...
...mais je me souvenais surtout de celui-ci, quand Groona passait des heures à tenter de surprendre les visiteurs.
Aujourd'hui, retour d'une bande de p'tits squatteurs, qu'on essaie de localiser. Ame sensible, je ne sais pas si cela va te navrer ou te réjouir, mais nous capturons les p'tits rongeurs avant de les relacher dehors... jusqu'à ce qu'ils reviennent.
Après la mûre, le cassis, le sureau, la framboise et le cynorrhodon, voici la gelée de pomme. On dirait les paroles d'uen chanson !
Aller hop, ça aussi c'est fait !
...que la connexion est faiblarde et que les dvd plantent autant que veux-tu sur l'ordi, tu lis plus que d'habitude !
L'Hôtel Stancliffe, de Charlotte Brontë. L'Angleterre victorienne dans la ville de Zamorna, au royaume d'Angria. Des écrits de jeunesse qui embaument la futurent Jane... (Hiii ! Jane !)
Lucas et les machines extraordinaires, de Lissa Evans. Une rafraîchissante quête autour d'un mystérieux objet (eh non ! mêm pas un vieux bouquin !)avec des machines et des trucages. Le sous-titre précise "ou le plus grand tour de magie du monde". Vraiment trèèès chouette. (Du réalisme magique, d'après ce que je viens d'apprendre dans le dernier article des Bouquineuses compulsives)
Le dernier homme qui parlait catalan, de Carles Casajuana, uniquement emprunté à cause de son titre, tu imagines... (ça ne fait rire que moi ?). Deux écrivain, un intelligent débat sur la langue et une intrigue originale dans une jolie langue... Que demander de plsu pour passer un bon moment ?
Bref, vivement la suite. Ah, la télé va être échangée ? Bah, on continuera à lire un peu quand même...
Parce que les conversations familiales tournent toujours autour de deux thèmes récurrents "qui-mange-mange-là-quand" et, bien sûr, "qu'est-ce qu'on mange", j'adopte la technique éprouvée dite de l'ardoise fouesnantaise... mais version porte parce que je ne vois pas bien où caser une ardoise dans cette cuisine encombrée !
D'abord mesurer pour dessiner des cases et les poncer. Et puis les peindre à main levée. Avec les bords arrondis, ça m'a pris des plombes...
On aurait pu envisager un calendrier de l'Avent, mais non : il manque des cases ! On pourrait aussi en faire un calendrier de Pouma, pour compter les dodos jusqu'au 21 décembre, mais je poursuis mon idée :
Bien sûr, chacun est prié de toquer avant d'ouvrir la porte pendant que j'ai le pinceau en main. Curieusement, aucune grosse étourderie. De toute façon, c'est de la gouache blanche, on peut toujours laver !
Et finalement, après une nuit de séchage, le tableau est opérationnel. La technique est encore perfectible, surtout pour les midis où il y a ceux qui emportent leur repas, ceux qui mangent sur place et ceux qui mangent peut-être, mais plus tard. Testons déjà cette formule... il reste de la peinture !
Comme si nous n'avions pas assez de moules idiots...
J'acquière ce formidable moule à moustaches, qui permet de faire des chocolats comme des gateaux, ou tout autre moulage...
...tandis que Groona trouve la panoplie essentielle : girafe, panda, koala, loutre, cochon, et même un pinguin !
Chouette ! Une vieille fenêtre en chêne ! Transformons-la en chassis à peindre !
Quelque chose me dit que ce n'est pas pour demain...
