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zapettibulles
21 juillet 2015

Sur la route des vieilles pierres...

La ballade commence maintenant à dater d'une quinzaine de jours, mais j'avais envie de te faire partager quelques jolis sites rencontrés en route...

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De part et d'autre du porche de l'enclos paroissial de Gouezec se trouvent un Saint-Nicolas et un Saint-Michel terrassant le dragon. J'avais pris le dragon pour un éléphant et me demandais bien quel saint avait un éléphant comme attribut mais il semble qu'il n'y en ait aucun. Juge par toi-même :

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Toujours sur la commune de Gouezec, la jolie chapelle Notre-Dame de Treguron...

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...et sa fontaine à la vierge allaitante.

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Je te fais grâce de l'église de Tregourez, dans un triste état de décrépitude, pour te faire partager la chapelle de Ponthouar bien difficile à photographier sans sa forêt de pylones électriques.

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La chapelle de Guernilis, à Coray, n'est quant à elle pas montrable avec une voiture garée le long de sa façade. Voici sa fontaine, en bonne compagnie. S'il y a un chemin qui y mène, je n'ai pas su en trouver l'accès.

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Ame sensible, je te l'avais dit, cette route est parsemée de jolies rencontres...

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20 juillet 2015

Intermède botanique...

En attendant de pouvoir partager l'anéantissement du monstre végétal, faisons un petit tour dans le jardin. Sur l'avant de la maison, il est aussi coloré qu'un feu d'artifice du 14 juillet... L'herbe est jaunie car je n'arrose jamais rien. Il reste quelques dizaines de litres d'eau croupie au fond du réservoir, mais je fais confiance à la régulation naturelle...

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On constate un espace de libre entre les rosiers et le... truc. Un arbuste imposant de la famille des "trucs-à-fleurs-roses" non visible à droite de la photo. J'ai tenté dans cet espace plusieurs plantations qui ont toutes péries, faute d'entretien. Le jardin de devant, je le traverse le matin pour aller cueillir cassis et framboises, l'admire depuis le chemin lorsque je monte en voiture... et l'oublie le reste du temps. La vie est ailleurs. Côté fil à linge, bien évidemment.

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Ame sensible, je ne résiste pas au plaisir d'une troisième photo, toute consacrée au rosier ronce, ou au moins une grande partie. Joli, mais envahissant comme de la mauvaise herbe !

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Amme sensible, tu m'objecteras que dans la vraie vie, le temps est plutôt à la pluie... et tu auras raison ! On aborde ici la limite de la pré-publication. Depuis les photos prises la semaine dernière, les hortentias sont affalés et les rosiers ne ressemblent plus à rien. Mais l'herbe est bien verte !

19 juillet 2015

Accrochage...

Terminer un tableau engendre systématiquement des réactions en chaîne...

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D'abord vernir. L'opération se pratique dans le bureau, à l'écart de toute bête poilue, une fois le parquet couvert de toiles cirées. Un instant de panique lorsque la lazure utilisée, qui a habituellement la consistance d'une gelée, est cette fois liquide et laisse un voile laiteux lorsque je l'applique. Ne sachant pas quoi faire, j'attends. Les traces ont disparu au séchage, mais je ne risque pas une deuxième couche. Ame sensible, tu me demanderas pourquoi utiliser une lazure médiocre initialement conçue pour tout autre chose que vernir les tableaux ? Boaf. Regarde le prix d'un vernis à peinture ultra-luxe, tu pigeras tout de suite. Et puis, je les garde pour me rappeler le plaisir pris à les élaborer, pas pour leur faire traverser les siècles...

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Une fois vernis, chacun des trois cadres se voit équipé au dos de crochets. Mais avant de pouvoir procéder à l'installation, il faut d'abord décrocher le tableau précédent, l'aspirer et aspirer le mur en pierres, toiles d'araignées oblige. Ame sensible, je ne te cacherai pas qu'il y a parfois aussi les propriétaires des dites toiles... Dans les heures qui suivront, tu sauras où me trouver : assise bouche bée à regarder le tableau ! Comme à chaque fois, je l'ai côtoyé de très près, et le découvre maintenant dans son ensemble.

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Un détail à ne pas oublier : recaser le précédent tableau encombrant. Il loge sans trop de difficulté sur mon bureau. A condition évidemment de trouver une place au précédent du précédent, autrement-dit l'avant-précédent, qui heureusement était d'un format plus confidentiel. Les futurs remplaçants du triptique sont d'ailleurs envisagés dans des formats plus manipulables...

18 juillet 2015

Mes deux pieds et moi...

Pour mon anniversaire, toujours le même, celui du mois dernier, je me suis vu offrir par les filles une carte spéciale "chaussures de randonnée", un modèle unique dessiné rien que pour moi. C'est que, bien sûr, il y avait besoin de mes pieds pour les choisir.

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Ce que je me suis efforcée de faire, en suivant scrupuleusement le modèle. Ame sensible, tu reconnaitras la similitude. Ces petites merveilles sont de vrais chaussons ! Je me sens rebondissante quel que soit le terrain. C'est vrai que jusque là je ne les aient utilisées que par temps sec, mais même dans les sous-bois qui renferment de l'humidité résiduelle je n'ai pas glissé. Vous entendez, les tennis "randonnée urbaine pour tous les temps", on a dit : NE GISSE PAS. 

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Ame sensible, tu peux te marrer à l'idée que je me suis contortionnée, en équilibre, jambes en l'air, pour commettre ce "selfi des pieds" tout à fait dans l'air du temps... Une vrai promotion pour le tourisme régional à moi toute seule. Tu aimes mon jardin ? Viens, il y a du bois à couper !

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Le plus simple étant encore de poser les pieds par terre. Mais ne t'attends pas à ce que je fasse un remake du nain de jardin d'Amélie Poulain. Je n'ai pas l'intention de continuer à prendre mes pieds en photo. Quoi que ? Tu veux voir mes tongs ? Ou mes bottes en caoutchouc ?

17 juillet 2015

Le jeudi a du mal à démarrer...

Un jeudi où je ne travaille pas, instinct de survie oblige. Une journée où j'ai prévu de dilapider mon énergie, la bonne comme la mauvaise (qui saurait faire le tri), à tailler l'énorme laurier cerise qui englouti le chemin, étouffe le noyer et sème ses cerises partout. Ame sensible, tu constates sur la photo qu'il y a déjà une modeste trouée, à l'exacte mesure de ma hauteur juchée sur un escabaud, les bras en l'air et le coupe-branche au bout... Ce qui te donne une idée du végétal à élaguer.

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Hélàs, mille fois hélas, je n'ai finalement aucune tronçonneuse à me mettre dans les mains. Qu'à cela ne tienne, j'ai une (précieuse) liste de trucs à faire, plus ou moins urgents, plus ou moins utiles, plus ou moins potentiellement fatiguants. Allons donc fabriquer de nouveaux chassis à peinture...

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Pour ce faire, d'abord atteindre la réserve de lambris et tassaux. Après avoir pris les mesures des chutes de toile disponibles. Quelques coups de scie à onglet plus tard, quelques mouvements de rabot sur les arrêtes intérieures, la lime sur les angles et un rapide passage au papier de verre pour fignoler, il n'y a plus qu'à monter les cadres. Mais la batterie de la perceuse-visseuse est déchargée. Où à l'agonie. Qu'à cela ne tienne... Un petit coup de vrille à bois, une vis, un tourne-vis... C'était sans compter les noeuds dans le bois. La vis dépasse, ça m'énerve. Je laisse tout en plan.

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Ame sensible, tu te demandes bien ce que j'ai fait du reste de ma journée. Tu m'imagines déjà sur les sentiers et chemins cornouaillais. Que neni. Entre-temps, il avait été question de lessive, de courses, de sol à laver, de lessive encore. De cuisine et de vaisselle, aussi. Quitte à perdre la journée, j'étais prête à aller acheter une nouvelle botte de tassaux en prévision de jours meilleurs. Mais ça ne logerait pas dans la mini-voiture.

Je ne vais quand même pas devoir me rabattre sur le sac de frappe ?

C'est inutile, car un rebondissement de dernière minute (ou de milieu d'après-midi) fait apparaître une... tronçonneuse ! Et c'est parti pour quelques heures à se contortionner, tirer, pousser... et éviter de se faire assommer. Le monstre végétal est encore là, mais en bonne voie de disparition. Ame sensible, je te laisse imaginer dans quel état de zenitude courbaturée je vais aborder demain la journée de boulot...

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16 juillet 2015

Pas de panique...

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Comment va notre préparation d'expo ?

Ouhhhh... Mais bien, très bien même, au regard d'expériences estivales précédentes (tu penses à quoi, là, exactement ? A l'été 2013 ? Oui... Penser et classer le monde... et passer un été pourri).

Les premières livraisons de mobilier ont ajouté un eu de concret à notre quotidien. Les pieds de cartel en plexi, les cadres... Même si tout n'est pas commandé, livré, ni même décidé, c'est autant de moins à se préoccuper à la dernière minute...

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Les premiers encadrements ont également rassuré un peu nos mirettes. Il y a le bon nombre de cadres, du bon format, la couleur des passe-partout ne choque pas tant que craint et notre collègue aux doigts de fée maîtrise la petite machine à bisauter. Malgré la démonstration en règle, mieux vaut la laisser oeuvrer...

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Soixante encadrements à réaliser, dont les plus grands, pour des plans de clochers sur calque, de plus d'un mètre de haut. Son été sera assurément bien occupé...

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De mon côté, je continue d'alimenter laborieusement le mur des lamentations, ou plutôt le mur des cartels. Allez, plus que deux textes à fournir, dont l'un déjà pré-machouillé. Je pensais pouvoir ensuite passer à la préparation du contenu des visites, mais c'était oublier le dépliant "touristique", lui aussi entièrement à rédiger...

En parallèle, mes journées se passent en rappels, explications et re-explications mâtinées d'insistances afin de transmettre via maintes intermédiaires les informations matérielles nécessaires à la production des imprimés. Titres adhésifs, agrandissements photos, et autres produits esthético-marketing devenus aujourd'hui nécessaires (voire prioritaire) dans toute exposition...

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Même s'il n'est pas temps de m'égayer, j'aurais aimé rapprocher davantage les photos prises à un siècle d'écart. La bibliothèque de Versailles a fait des montages juste excellents, où les deux images n'en font plus qu'une. Inutile de me dire que mon petit essais sur l'église de Rosporden n'est pas concluant. Pourtant, le cadrage et l'échelle sont bons. La berge avançait davantage, ce qui se confirme sur cette autre vue prise cette fois depuis l'église.

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C'est encore plus compliqué lorsqu'il ne reste aucune des batisses de l'époque. Quelle que soit l'option prise pour le montage, on n'y comprend rien. Mais ça valait le coup d'essayer...

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En conclusion, disons que ça avance et que ce qui doit être fait d'ici la fin du mois de juillet le sera. Jusque là, ce qui était imaginé sur le papier correspond assez bien à la réalité. L'inconnu réside dans les éléments qui ne dépendent pas de nous et dans le calendrier de septembre, un rien optimiste. Ame sensible, tu vas me dire que la panique peut attendre ? Qu'il n'est pas encore nécessaire d'avoir mal à l'estomac ou de collectionner les nuits blanches ? Trop tard ! Je suis déjà en mode survie.

15 juillet 2015

Faire le mur...

Voilà qu'un jour je me suis dit que ce serait sympa de faire le tour des anciens remparts de Quimper. Mais vraiment tout le tour. Et me voici partie, un midi, sur les traces des vestiges moyen-âgeux.

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Mais je réalise qu'il y a plus évident que de montrer ce qui n'existe plus. Par exemple, il semble aujourd'hui naturel d'arriver aux halles par la rue Saint Mathieu et la place Terre-au-Duc. Hors, à l'époque des fortifications, il n'y avait ni rue ni place. Là d'où j'ai pris la photo étaient des maisons, la place le cours du Steir et les terrasses... la muraille. Les halles, elles, ont été cosntruites à l'emplacement de l'ancien couvent des cordeliers. Autrement dit, les parasols symbolisent les murs et les pavés représentent le cours d'eau. Avec un peu d'imagination...

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Forte de cette constatation (et pour ne pas dire "du coup") je me suis focalisée sur les vestiges encore visibles.

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La muraille du jardin de l'évêché (2), derrière la cathédrale, aujourd'hui haut lieu du tourisme quimpérois. Bien que clasée monument historique dès 1887, cette muraille a longtemps été laissée à l'abandon, ruinée et couverte de lierre. Ce n'est qu'en 1968 qu'elle sera restaurée et valorisée.

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A l'épque où les remparts protégeaient la ville, cette muraille ne donnait pas sur un jardin ni sur le quai, les maronniers et les passerelles sur l'Odet, mais directement sur le fleuve. A proximité se trouvait un moulin à marée, aujourd'hui disparu. La ville était entourée de zones humides et marécageuses.

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Un peu plus loin, la démolition d'un garage automobile a permis la création du square Antoine Le Bris (3), rue de Juniville. La tour Pennalles qui se tenait à l'angle a, elle, disparu.

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Les anciennes douves et la tour Nevez (4), la seule aujourd'hui encore debout.

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Au nord de la ville, sur les hauteurs, se trouvaient l'entrée principale, la porte de la Tourbie (5). Je me suis longtemps demandé comment on pouvait habiter cette tour qui me semblait bien étroite. Tout simplement parce que la tour actuelle est un château d'eau, alors que l'ancienne tour, bien plus imposante, étant située de l'autre côté de la rue.

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A l'ouest courent les anciens ramparts le long de ce qui était l'allée des soupirs (6). Elle a été percée d'une grande porte, l'entrée du collège de la Tour d'Auvergne. Les douves ont été conservées.

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Pour parcourir le quatrième pan, on redescend le long du Pichery, autrefois les pècheries (7). On y reconnait des tronçons de murs, quelques tours qualifiées d'époque dans certaisn ouvrages, mais sont-elles vraiment ? Et de quelle époque parle-t-on ?

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Pour avoir une vue d'ensemble sur la descente du Pichery, rien de tel que se reculer de quelques pas, ou plutôt traverser le Steïr pour se poster le long de l'écluse du Moulin-du-duc.

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Dans le bas du Pichery, les maisons dissimulent le mur sur lequel elles sont adossées, on regardant bien, on en aperçoit parfois quelques vestiges.

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Après avoir traversé la la place Médard, on retrouve un dernier élément, l'échauguette au dessus du Steir, qui figure sans doute la moitié des cartes "souvenir de Quimper".

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Ame sensible, j'espère que tu as apprécié la virée dans le temps. Il faut qmaintenant que je trouve comment te  faire partager aussi le tour des ramparts qui n'existent plus !

14 juillet 2015

Loin loin loin...

...aussi loin que possible de l'univers de l'ami Abgrall. Une vrai belle parenthèse à visiter l'exposition Giacometti à Landerneau. Hiiiiii... T'as bien entendu ! Alberto Giacometti à Landerneau !

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Juste merveilleuse. Des toiles que je n'avais jamais vues, même si un abruti était en pleine constatation que "oh bah c'est pas bien gai tout ça, du gris et du noir, quelle idée". 

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Beaucoup de statues, avec une belle mise en valeur des socles, du monde surtout autour des célèbrissimes "femme debout", "homme qui marche" et autres figurines.

C'est officiel, je trépignerai jusqu'à ce qu'on aille à Saint-Paul de Vence à la fondation Maeght !

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Ame sensible, rappelle-toi la dernière fois qu'on a vu une expo consacrée à Giacometti, c'était en 1986, à Martigny, en Suisse (Damned ! J'ai retrouvé le ticket d'entrée ! Je ne me moquerai plus des manies des archivistes ! Promis !)Regarde mieux sur le mur de mon atelier, sa photo y est toujours.

13 juillet 2015

On n'est pas déjà passé par là ?

La jolie ville de Landerneau, au bord de l'Elorn, capitale administrative dès le XVIe siècle comme en témoigne ses vénérables maisons de pierre. Pour tout dire, le centre-centre ressemble à tous les tristes centres-ville historiques. boutiques fermées, devantures closes, mis à part quelques enseignes de chaînes vestimentaires. Mais... Deux librairies. DEUX.

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Le Pont Rohan, à cheval sur le Léon et la Cornouaille. S'y élevait autrefois un moulin-prison.

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Sur chacune des rives les églises de Saint-Houardon et Saint-Thomas se font face. L'une en Cornouaille, l'autre en Léon. Devant Saint-Thomas, l'auberge de Notre-Dame de Rumengol est en restauration. La statue qui orne l'angle est engoncée dans les échaffaudages.

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Toujours à proximité, la chocolaterie de la lune, la galerie du croissant de lune et l'auberge des 13 lunes sont autant de témoignages du disque de métal qui ornait le clocher de Saint-Houardon. Sur la façade de l'auberge, ce... mouton ? lion ? à la langue bien pendue.

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Ame sensible, je te l'accorde, ce n'est pas une destination inédite. Mais j'y passe régulièrement et aprécie le centre de cette jolie petite cité, même si elle n'est pas estampillée "de caractère". Et puis, c'est l'occasion d'apporter une petit précision au précédent article sur le sujet. En effet, le 8 août 2013 je te parlais du dernier pont habité d'Europe.  Mais depuis nous sommes passées par Pont-l'abbé et son pont habité. Disons alors qu'il s'agit là d'un des derniers ponts habités d'Europe. Certe, il y en a aussi un à Narbonne. Mais ce sera pour une autre fois. Tu me diras, et le pont couvert, à Strasbourg ? Mais un pont couvert n'est pas un pont habité...

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Je ne résiste pas au plaisir de te rappeler le pont au change, à Paris, où habite Jean-Baptiste Grenouille, le sombre protagoniste du Parfum de Patrick Suskind. C'est sur ce pont que se tient sa boutique, en encorbellement au dessus du fleuve. Je ne peux pas voir ce type de construction sans penser à la scène de la destruction de la maison, qui s'éboule dans le fleuve. Et je passe devant le pont médard tous les jours... Ame sensible, tu disais ?

12 juillet 2015

Plein les doigts..

Après avoir largement profité de la sous-couche des silouettes couleur marron moche il est temps de chercher un gris moins moche. Finalement la teinte adoptée est de la nuance exacte de la carrosserie de la voiture affectueusement baptisée "Gris pourri"...

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Tant qu'à avoir les mains (et les coudes, et le front...) dedans, je me fends d'un petit passage par l'éponge pour floutifier les silouettes gris clair.

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Ame sensible, je te l'accorde. Vu d'aussi près, c'est patachon. Sans vouloir te désoler, de loin ça l'est tout autant. Fois trois, car c'est toujours un triptique.

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Quelques heures plus tard...

Manque encore le halo personnel et individuel de chacun des personnages, mais ça avance. Ame sensible, tu apprécieras particulièrement les longues silouettes bleues, à l'arrière-plan. Elles étaient initialement "gris pourri" !

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Pour avoir une vue d'ensemble à l'abri du vent et du crachin, j'ai investi la cuisine. Pratique, non ?

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